Présentation du blog - A lire avant tout lors de la première visite du blog

Noé est né le 3 novembre 2012, Alice le 28 décembre 2014. Depuis sa création il y a deux longues années (Mais Dieu que le temps passe...), ce blog est consacré à leur quotidien, leur environnement, leurs proches et moins proches. Vous y lirez surtout des tranches de vie qui se veulent pas "prises de tête". Un peu de légèreté dans un monde qui commence à en manquer singulièrement.

Bonne lecture !

Cécile et Olivier



mercredi 25 septembre 2013

Tout ne tient qu’à un fil

Chers lecteurs, dans 90 dodos, c’est Noël.
J’imagine vos visages angoissés, une question restant désespérément vierge de toute réponse : « Que peut-on offrir à Noé ? ». Un jouet ? des fringues ? une villa avec piscine ? un TGV ?
Les quelques mots qui vont suivre vont, je n’en doute pas, vous rassureront instantanément : un fil (à rôti ; électrique, etc.), un lacet de chaussure ou même un cheveu combleront le bonhomme au-delà de toutes vos espérances.
Sceptique ? Je vous invite donc à observer Noé lorsqu’un tel objet lui tombe entre les mains. Avec une douceur exemplaire, il triture, enroule autour du doigt ce jouet improvisé, dans un silence religieux, sans afficher le moindre signe de lassitude.
Puis, brusquement, le fil est gobé par son propriétaire. Interviennent alors les parents qui récupèrent celui-ci prêt à dire salut ! à la glotte toute proche.

Si, plus tard, ce gosse n’aime pas les spaghettis, c’est à ne plus rien comprendre…

lundi 23 septembre 2013

Le ballon bleu

Petit retour sur l’été. Entre deux siestes, Noé s’est fait plein de potes durant juillet et août. Parmi eux, un ballon en plastique bleu et étoilé a eu régulièrement ses faveurs. Non content de l’avoir enduit d’ADN sirupeux (c’est plus beau que d’écrire : léché comme un sauvage), Noé a utilisé le ballon pour parfaire sa coordination gestuelle. Afin de  réaliser ces exercices, il a embauché un coach : son père. Régulièrement, au cours de ses congés, l’ancêtre s’est donc assis face au petit tas de chair doté d’une couche. Et les compères s’envoyaient et se renvoyaient le ballon durant une longue demi-heure.

Passionnant non ?

vendredi 20 septembre 2013

Jean qui danse et Noé qui dort

Je tiens dans le creux d’une main, je ressemble à un insecte désossé enrobé d’une protection en plastique avec une queue en tire-bouchon (tout simplement…) et je fredonne des airs connus : qui suis-je ? Un criquet qui a mal tourné ? un chanteur de The Voice ?
Non, je suis une toute petite boîte à musique ascendant orgue de barbarie qui distille tous les soirs dans les jeunes oreilles de Noé une douce mélodie, En Joan Petit en l’occurrence (c‘est marqué sur le boîtier. Pour les défenseurs acharnés de la langue de Molière, il s’agit de la version catalane du célèbre Jean petit qui danse… mais vu qu’il ne s’agit que de la version musicale, donc sans parole, on ne voit pas la différence entre le made in France et le Made in Catalunya…
Toujours est-il que ces quelques notes, rituellement jouées tous les soirs par les parents, au moment du coucher, possèdent des effets bénéfiques sur le dauphin (Noé 1er, roi de Port-Vendres) : arrêt momentané des grognements de colère du à un passage forcé de la position assise à celle couchée (il est temps de roupiller, aussi roitelet soit-il) ; sourire dévoilant UNE dent éclatante de blancheur ; pieds qui tapent hystériquement la cadence sur un matelas déjà fatigué (là, c’est un comportement plutôt bizarre, mais bon…).
A quoi doit-on un tel enthousiasme ? Noé serait-il un mélomane en devenir ? un indépendantiste pur et dur ? un amoureux inconditionnel de ces tubes du Top 50 médiéval ?

En attendant de percer cet insondable mystère, danse, danse Jean Petit jusqu’à ce que s’endorme Noé le grogneur !!!

mercredi 18 septembre 2013

Le cauchemar de Noé

Qui dit gros rhume dit automatiquement grosse gêne au niveau du pif. Lorsque deux cavités nasales juvéniles sont embouteillées comme le périphérique parisien un jour de grève des transports en commun, il convient pour les parents d’agir au plus vite. Car Noé ne sachant pas encore ventiler par les oreilles (sait-on jamais, un jour peut-être, au rythme où va « l’évolution »…), le moindre orifice dédié à la respiration est indispensable. Sinon, alimentation difficile et nuits entrecoupées de gémissements garanties !
Mais déboucher un petit nez gracile figé dans la morve est une opération complexe. Pas au point de faire intervenir les membres du GIGN (Groupe d’Intervention contre la Gêne Nasale), mais tout de même ! Pour arriver à leur fin, les parents ne doivent pas lésiner sur l’armement, du style artillerie lourde. Adieu les petits mouchoirs premier prix qui se déchirent au moindre geste brusque du bambin et qui peluchent outrageusement sur les doigts des ancêtres. Vive le mouche bébé par aspiration et le sacro-saint sérum physiologique.
A ce stade du raisonnement, s’il existe parmi vous, chers lecteurs, des internautes sadiques, passez votre chemin ! En effet, nous ne vous ferons pas le plaisir de vous décrire par le menu détail l’opération qui consiste à bloquer la tête de Noé entre des bras musclés (du père) pendant que des doigts d’une exceptionnelle douceur (de la mère) effectuent un lavage au sérum puis parachèvent le dégagement des voies respiratoires grâce une aspiration précise et brève par mouche bébé. Du grand art. Une coordination exemplaire. Un talent monstrueux malheureusement pas du tout apprécié par la victime (Noé). D’ailleurs, que pense ce cher bambin, le visage noyé de larmes, tout ridé et déformé par un rictus de colère homérique (Dieu qu’il fait vieux quand il chiale !) ?
Si certains parmi vous parlent couramment le bébé, ils traduiront aisément les cris distillés par la jeune pousse : « Espèce d’enfoirés ! Allez-y profitez de ma faiblesse ! On en reparlera dans quelques années ! Et toi (Noé se tourne vers le père), c’est pas comme ça que j’aurai envie de venir te voir à la maison de retraite, dans pas si longtemps que ça ! »
… mais ceci est une autre histoire.

PS : les âmes sensibles ne supporteraient pas la photo d'un Noé figé dans la colère. Nous avons donc choisi de clore ce post avec le visuel d'un gamin resplendissant. La DDASS appréciera.



lundi 16 septembre 2013

La fièvre du samedi soir


Comme tout préado de 10 mois qui se respecte, Noé cherche une issue à cet ennui fatal du samedi soir. Entre « On n’est pas couché », l’émission culte où sa mère s’endort avant l’interview du premier invité et « On est réellement couché dans son lit bien douillet », Noé cherche une troisième alternative.
Il lui aura donc fallu 10 mois avant de trouver une solution à ce cycle monotone : la bonne « fièvre du samedi soir ». Attention aux mégardes, je vous vois, vous les puristes, chantonnant « Staying alive » en sautant tout de go dans votre superbe patte d’eph’ vert pomme. Non, la fièvre de Noé s’apparente plus à du 38.9 ° Celsius qu’à un vieux 33 tours des Bee Gees : de quoi inquiéter sa mère à la vue du thermomètre digital qui n’en finit pas de grimper et affiche fièrement la température en rouge vif, comme si lire tout simplement 38.9 ne suffisait pas à faire chauffer les angoisses…
N’écoutant que son instinct primaire et son expérience passée, le père dégaine de son étui un suppositoire qui ira s’enfoncer directement dans le séant de notre chère tête blonde, tout ça sous les yeux ébahis de la mère qui conclut par un « Je le savais ».

Noé, n’ayant pas un fond méchant, terminera au fond de son lit blotti contre ses doudous. Il vivra une nuit un peu agitée, se réveillant par ci par là, mais sans jamais gémir. Au petit matin, la fièvre descendue, il se réveillera comme à l’accoutumée, sourire aux lèvres avec une variante « Morve au nez ».

vendredi 13 septembre 2013

Rien ne change !

J’ai déjà 10 mois (ça passe vite, bientôt la majorité), certaines habitudes ne changent pas, aussi sûr que deux plus deux font quatre ou que les programmes TV deviennent d'une vacuité exemplaire. Ainsi, mes heures de coucher et de lever restent quasi immuables. Pour référence, on part sur une base de 10 heures de sommeil non stop, généralement de 21 h jusqu'à 7 h 30. Je sais, ça fait rêver. Mes parents sont des chanceux qui s’ignorent et ils osent encore parfois me critiquer !!! Honte à eux !!! Donc, comme je le disais, depuis plus de 300 dodos, je plombe comme une marmotte sous anxiolytique... mais pas avant de me faire piéger au moment du coucher !!! Regardez bien cette photo. Tout d'abord, oubliez la laideur du T-shirt de mon père et son profil capillaire approximatif du à une désertification progressive de la zone haute du front (pourtant, il a beaucoup plu cette année).  Vous vous dites, une larme perlant sur votre joue bronzée : quelle tendre et exemplaire complicité entre un père et son enfant (sniff !). Moi aussi, toujours au bout de quelques mois de séjour terrestre, j'ai toujours l'extrême naïveté de croire à cette image d'Epinal. Mais que voulez-vous, si je n'avais plus d'illusions à mon âge...  Regardez ce sourire édenté d’un petit être heureux de partager un moment de franche camaraderie teinté d'un amour filial (je préfère préciser, sinon il serait capable de ne plus me filer le bib...). Notez que personne, pas même moi, ne pourrait se douter que dans la seconde qui a suivi cette prise de vue, je me suis retrouvé propulsé au fond de mon plumard, avec mes trois compagnons d'infortune. 

Voyez ce sourire qui ne quitte pas ce doux visage. Là, j'y crois toujours, résistant aux doutes qui commencent à assiéger mon âme pure.  Sachez qu’une fois la porte fermée et les lumières éteintes, je ne me prive jamais de leur faire part mon de mécontentement. N'étant ni en âge ni en état (je ne sais toujours pas marcher) de manifester, j'use des deux seules armes qui me restent : les cris et les pleurs. Enfin pas longtemps, car il ne me reste plus que 9 h 45 à dormir. Le sommeil est précieux tout de même...

mercredi 11 septembre 2013

Le roi Fainéant

L’esclavage a été aboli sous nos latitudes le 17 avril 1848 exactement.
Lorsque Noé l’apprendra, sûr, cela lui mettra un sacré coup derrière la caboche.
En effet, si cette pratique infâmante était toujours en vigueur, notre chère tête blonde (oui, les cheveux commencent à pousser… enfin) aurait certainement profité de l’aubaine sans l’ombre d’un remord.
Il aurait pris un esclave pour se mouvoir à sa place. Un autre pour lui rapprocher les jouets hors de portée de ses menottes. Un autre pour lui tenir le biberon. Un autre pour mâcher les aliments avant de les ingurgiter. Car Noé, aussi beau, intelligent et charismatique soit-il, est un sacré glandeur, de ceux qui érigent la paresse en art de vivre, qui considèrent que le moindre effort est déjà un effort superflu.
Par contre, il est deux tâches que ce petit Roi Fainéant peut assurer sans l’aide de quiconque : déchirer l’atmosphère avec un cri aigu aussi supportable que le raclement d’ongles sur la carrosserie d’une bagnole ; dormir comme une souche morte après avoir au préalable chialé pendant un petit quart d’heure, question de rappeler qu’il existe.

Maintenant, une sourde angoisse étreint son géniteur : le fils prodige marchera-t-il avant sa majorité ? ….

lundi 9 septembre 2013

Papivore

Que fait Noé pendant les interminables journées d’été gâtées par des orages rendant caduque tout espoir de mettre le bout du pif dehors : après avoir roupillé deux petites heures, avalé en apnée 180 ml de lait, Monsieur adore se caler sur son tapis d’éveil, chausser ses lunettes (là, j’exagère), prendre un journal et lire les tristes nouvelles d’un monde déserté par la légèreté, l’humour et plein d’autres ingrédients qui font, à la base, le propre de l’homme (leçon de philo à deux balles terminée).
Puis, brusquement, une lueur traverse le crâne pré-pubère de Noé. Une sacrée révélation va sensiblement perturber son emploi du temps : « Zut, crotte prout cacaboudin, je ne sais pas lire ! Que faire de cette liasse de papier même pas assez doux pour torcher mon petit séant ?» semble-t-il analyser dans un silence de cathédrale fermée un dimanche matin.
Qu’à cela ne tienne : sur cette petite planète bleue, il n’existe pas de problèmes, que des solutions, non mais !!!
Alors, si on ne peut pas dévorer un journal, autant le déchirer. En quelques secondes, Noé se métamorphose en psychopathe junior, sans le sourire en coin mais avec la bave aux lèvres.
Méthodiquement, avec un sadisme frisant la perfection, il s’attaque à une page, la transforme en un tas de confetti qui, voyons le bon côté des choses, seront très utiles lors du prochain Carnaval.
Puis la page suivante subit le même sort. Et la suivante, etc.
Le tout dans un mutisme (temporaire, malheureusement ?) qui ravit l’assemblée (les parents).
Quelque part, la culture a du bon. Ce n’est pas dit que pour son premier anniversaire, Noé devienne le plus jeune abonné du journal Le Monde

vendredi 6 septembre 2013

Flexions, extensions

Les choses deviennent sérieuses. Tel Rocky, j’enchaîne les exercices afin de muscler ma silhouette qui, pourtant, laisse déjà pantoises la plupart des dames. C’est dur, très dur. Mes muscles ne répondent pas toujours. Mon but est de me déplacer seul. Malheureusement, ne serait-ce que m’appuyer sur les bras est un acte synonyme d’efforts titanesques. C'est beaucoup trop pour un petit être sans défense ni volonté atteint d'une maladie que mes parents espèrent curable : la flemme. Alors, n’écoutant que mon courage, je répète inlassablement les mêmes exercices : flexions, extensions. Grâce au canapé qui me sert d’appui, au prix d'une concentration digne de celle des plus grands maîtres bouddhistes, j'en appelle à mon courage, ma détermination et ma volonté. Je puise dans des ressources qui m'étaient jusqu'alors inconnues.  Croyeeeeeeeeez-moi, j’y suis presque ! 
   

Bon, faut pas se leurrer, je n’y arriverai pas du premier coup. Promis, j'essaierai à nouveau, mais après ma séance de relaxation.
Signé Dalai Noé.
 




mercredi 4 septembre 2013

I love Saint-Martin

Je me permets de revenir une dernière fois sur mes dernières vacances à la montagne finalisées par une visite de l’abbaye de Saint-Martin du Canigou.
Ce petit bijou architectural planté au cœur du… Canigou (étonnant non ?) se mérite.
En effet, pour y accéder, il faut tout d’abord engloutir à marche forcée une piste inhumainement raide pendant une bonne vingtaine de minutes avant de profiter de la quiétude de ce lieu que j’aimerais bien posséder comme résidence secondaire.
Quand j’écris « Il faut marcher », vous comprendrez bien sûr que je parle de mes parents. Pour ma part, j’étais cool pépère bien calé dans mon porte-bébé, à mater mes géniteurs suant comme des bœufs, le teint pourpre, le souffle court, la transpiration n’épargnant aucun centimètre carré de leur cuir chevelu recouvert par une ridicule casquette en toile made in China. C’était un spectacle rigolo qui donne une image un peu pitoyable de la famille. J’aurais eu un haut-parleur, je leur aurais gueulé d’avancer plus vite, mais bon, je ne peux pas exaucer tous mes vœux, ce qui est bien dommage.
Après une petite visite des lieux, une pause biberon et une séance photo (oui, je suis mannequin durant mes rares heures de loisirs), descente vers le parking.
Mais là, je ne peux rien commenter : j’ai plombé comme une bête durant le trajet, bringuebalé de gauche à droite, au fil des virages, comme un sac de linge sale.
Malgré cette dernière impression un poil désastreuse, la journée fut tout de même belle…

lundi 2 septembre 2013

Carte postale de Matemale

Chers vous tous,
Quelques petites nouvelles de mon séjour à Matemale, à la fin août. Pour commencer, le temps a été meilleur qu’en juillet mais ce n’était pas la fournaise non plus (moins de 20 degrés au mieux, mais pas de pluie !).
Avec mes parents, nous sommes allés randonner. Mon père m’avait sur le dos aux sens propre et figuré (ça change, d'habitude, c'est le contraire). Ces balades à travers la forêt furent très revigorantes. Nous avons rencontré des animaux inconnus : vaches, chèvres, chevaux, écureuils, bouquetins + fourmis et criquets au moment du pique-nique. Sans oublier les mouches du soir, au moment du coucher. Mon père, ce héros, a exécuté en moins d'une demi-heure, de sang froid, vingt-huit de ces insectes volants et trop bruyants à notre goût . Rassurez-vous, cette affluence "mouchesque" impressionnante n'était absolument pas liée à une quelconque invasion de notre planète par ces bestioles. Ces dernières étaient tout simplement attirées, non par l'odeur des chaussettes de mes parents, mais par la proximité d'une fromagerie, à une petite cinquantaine de mètres de notre fenêtre. N’écoutant que son courage, tapette à la main, l’œil vif, mon ancêtre a écrasé ces mouches avec une dextérité de cow-boys dégainant leur six-coups dans un western de Sergio Léone ou - pour les plus jeunes - des héros sanguinaires oeuvrant sabre au clair dans Kill Bill de Q. Tarantino.
Je me suis fait des amis aussi. Tous les soirs et tous les matins j’avais la visite de mon fan club : un couple de retraités venait me voir au moment des repas et me demandait ce que j’avais fait dans la journée, me parlait. Cela me faisait bien marrer. Et puis, il y avait également Léo et son frère Tom. Léo (4 ans et demi) venait me voir pendant mon souper. Il me tapotait la tête et me saluait au petit déjeuner. Et enfin j’ai fait la connaissance de Romane. Ah ces jeunes filles de même pas cinq printemps, modernes, espiègles, chipies, bavardes et téméraires !!! Je lui ai tiré sa couette mais ça c’était avant de savoir qu’elle avait cassé deux dents à son frère qui a le double de son âge. Si mes parents n’avaient pas été là, que serait-il advenu de moi ? Auriez-vous aujourd’hui de mes nouvelles ? ……
Et pour finir, j'ai l'immense privilège, l'honneur, la joie de vous informer que ma première quenotte a ENFIN percé le 28 août dernier, toujours à Matemale. Sachez aussi que j’ai fait également ma première chute sur le ventre avec décollage depuis le lit des parents. Je le confirme : Pampers n'absorbe pas que les fuites. les chocs également...
Les vacances se terminent. Dès ce matin, je fais mon retour (ou ma rentrée) chez la nounou. Mes parents reprennent quant à eux le chemin du boulot. Gros bisous à tous, courage et une petite pensée pour ma cousine qui entre demain au lycée, en classe de seconde (bonjour le stress, je plains la maman). Bisous et à bientôt !
Noé.